AIGRE DOUCE 

Entre amertume et tendresse, poésie et pragmatisme, jazz et java, elle et il, Aigre Douce ne sait jamais choisir. Son cœur balance et trouve son équilibre dans un univers feutré, aux lueurs de chanson française et bossa.

Découvrez notre artiste accompagnée pour la première fois en trio avec Diana Nunez (violoncelle chœurs) et Ali Berthet (piano chœurs) !

Dans ces gracieux interstices, la plus tendre des déclarations, la plus jolie des chansons, peut se permettre toutes les audaces, s’habiller de pop légère et d’électronique délicate. Une poignée d’années et près de 300 concerts ont rapproché Claire et Gaëlle d’une œuvre sensuelle qui respire l’air du temps, à l’heure où la chanson française retrouve des couleurs et s’aventure à la lisière des productions les plus contemporaines.

Camille Fournier, dite Zaza, nous a manqué.

On l’a connue jeune fille à la fraicheur espiègle à l’heure de son premier album éponyme en 2008, puis amazone néo-yéyé quelques années plus tard avec Regarde-moi, sorti comme le précédent chez Warner Music France. En 2015 on la retrouvait experte en poésie des petits riens aux côtés de MajiKer pour son troisième album Le Départ (Le Rat des Villes / Verycords), et nous sentions déjà poindre ce furieux désir de déplacer les frontières, les codes, les définitions.

Depuis Zaza a créé Le Déluge, une forme mêlant textes et musique, menant toujours plus loin sa quête d’une création plurielle, elle a co-créé la pièce Intimes avec Natalie Beder, laissant le théâtre gagner du terrain et renouant ainsi avec ses premiers élans, sans jamais museler la musique pour autant. Elle a rejoint le collectif de L’Ultrabal (Fixi, Chloé Lacan, Maïa Barouh etc…) en quête de danse transcendantale, et créé des formes éphémères telles que Garçons avec Cléa Vincent et Carmen Maria Vega et Un autre amour avec Alexis HK… bref. Zaza ne connaît ni la procrastination, ni la tranquillité.

Tachka est une artiste à la fois proche et singulière.

Comme un souvenir d’enfance qui retrouve ses couleurs, un cerf-volant espiègle poussé par les vents de Scandinavie, d’où viennent ses racines. Sur scène, elle dévoile toute la richesse d’un monde hybride, organique et synthétique. Ses chansons ont cette saveur de poésie-à-facettes, que l’on redécouvre constamment en fonction des heures et des éclairages.

Avec son troisième album, Tachka fait des figures, affirme ses luttes et ses talents.